A l’ordre du jour en France : Dégage !
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Le carré rouge et la lutte des étudiants au Québec : voir l’ info "si vous cherchez le site des étudiantEs au carré rouge,
la bonne adresse est : http://www.bloquonslahausse.com/
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La "Lettre de notre bord" du 27 avril 2012 par Samuel Holder, à lire sur le site Culture et révolution
Grèce : la vidéo de l’intervention de Panos Angelopoulos au meeting du Collectif pour un audit de la dette publique (le 5 mars à Paris)
Le livre de François Chesnais, "LES DETTES ILLEGITIMES. Quand les banques font main basse sur les politiques publiques" est paru aux Editions Raisons d’Agir (les éditeurs en sont Jérôme Bourdieu et Franck Poupeau)- 160 pages - 8€ -
Et aussi une vidéo à visionner :
François Chesnais est venu à la librairie Tropiques (63 rue Raymond Losserand à Paris 14ème) pour présenter son livre. Le libraire de Tropiques a fait un remarquable travail de montage de son interview.
Le lien pour visionner la vidéo : Vidéo "Les dettes illégitimes"

Le livre a été annoncé et présenté dans le numéro 45 de Carré rouge dans l’article "La vulnérabilité du système financier, l’illégitimité des dettes publiques et le combat politique internationaliste pour leur annulation" consultable ICI
L’intérêt, l’utilité et l’actualité brûlante de cet ouvrage sont bien résumés par la quatrième de couverture :
" L’endettement des gouvernements est aujourd’hui
une arme pour imposer les réformes propres au
capitalisme libéralisé, financiarisé et mondialisé.
Un document du FMI de novembre 2010 l’énonce
sans détour : « les pressions des marchés pourraient
réussir là où les autres approches ont échoué ».
Comme le montre dans ce livre François Chesnais,
économiste, militant et spécialiste reconnu de la
globalisation financière et de ses effets, il faut
prendre cet avertissement très au sérieux. Avec la
crise financière, le piège de la dette publique se
referme : l’impôt qui pèse principalement sur les
revenus du travail assure le service de la dette et
réalise, au-delà de toutes les espérances du capital,
un transfert gigantesque de richesses vers les
banques et les fonds de placement financiers aux
dépens des salariés.
Aucun changement significatif de la répartition
en faveur du travail ne pourra se faire sans toucher
au service de la dette, donc à la dette elle-même. La
taxation des profits et des hauts revenus ne suffira
pas aussi longtemps que cette composante essentielle du pouvoir du capital n’aura pas été supprimée. "